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à l'entrée du parc le public est accueilli par le Soleil, suivi de près par Mercure. </br>Utiliser la molette de la souris pour zoomer après Mars voici la Terre et sa Lune on s'achemine vers le point de rendez-vous... ... où Martin donne des informations sur l'ObservaThouars pendant que Lucas met en station le télescope Dobson de l'ObservaThouars Ginette évoque la passionnante carrière d'Hubert Reeves Martin paraît satisfait de la prestation Robert fait passer un examen aux volontaires avec les questions du quiz qu'il a concoctées</br>Sur la table on aperçoit les maquettes des quatre planètes gazeuses

 

activités d'août 2024
La nébuleuse de la Tarentule. Voir explications en page précédente si vous êtes membres de l'ObservaThouars vous pourrez lire la suite <a href= '../membres/C&E-HS-47/
HS-47b.html' target='_blank'>ici</a>

Nuit des Etoiles le 9 août, au château de Oiron

utilisez la molette de la souris pour zoomer utilisez la molette de la souris pour zoomer Cette édition de la nuit des étoiles fut mémorable. Ce fut presque un sans faute malgré les quelques changements de dernières minutes. Contrairement à l’année dernière, cette fois-ci la météo était parfaite. Cependant un événement d’envergure mondiale nous faisait concurrence : les JO de Paris 2024. La crainte d’avoir une participation réduite à cause de ces derniers fut rapidement balayée, nous avons même égalé (ou battu ?) notre record avec 200 visiteurs recensés. Est-ce la présence annoncée d’un télescope révolutionnaire, une communication habilement réalisée, ou bien juste le fruit du hasard ? Quoiqu’il en soit, les bénévoles de l’association des Amis de Oiron nous ont apporté une aide précieuse pour la mise en place de la manifestation et ensuite canaliser cette foule au sein du parc du château de Oiron. Le public devait parcourir un chemin d’environ 450 mètres, le long duquel avaient été placées nos maquettes du système solaire où les échelles étaient respectées, que ce soit en termes de taille des planètes ainsi que de distance qui les séparent. Une fois à bon port, les spectateurs ont pu assister à un hommage à Hubert Reeves (disparu le 13 octobre 2023) prononcé par Ginette.
Ce qui devait être exceptionnel (pour les dix de notre atelier en 2023) à été reconduit cette année. Nous parlons ici du quiz, dont Robert s’est chargé de la rédaction (trois jours avant la date fatidique… sur un coup de tête ?) et du déroulement. Une partie des lots nous ont été fournis par la librairie du Brin de Lecture (à Thouars).
La soirée s’est poursuivie avec une conférence sur la quête des origines (thème proposé par l’AFA), conçue et animée par Martin. Quant à lui, Daniel a entrepris la désormais traditionnelle présentation du logiciel Stellarium.
Quatre télescopes étaient à la disposition des visiteurs. Deux Dobson de 200mm, ceux du club (piloté par Lucas) et de Martin. utilisez la molette de la souris pour zoomer photo prise quelques jours avant la Nuit des Etoiles photo prise le 9 août photo prise le 9 août pour en savoir plus sur le télescope <a href='https://laclefdesetoiles.com/newton/8528-telescope-evscope2-unistellar.html' target='_blank'>Unistellar eVscope2</a> Le Schimt-Cassegrain de Robert (130mm) et un télescope Unistellar connecté (gracieusement prêté par un astronome amateur du thouarsais) dont Eugène avait la charge (après quatre courtes séances d’initiation). Ce dernier n’a pu faire qu’un tiers des observations envisagées tellement il était assailli de questions. Ce télescope possédant son propre réseau Wifi a permis à plusieurs dizaines de personnes de s’y connecter et même de pouvoir prendre des photos des objets observés, ainsi que garder un souvenir de cette soirée. (voir 6 photos ci-contre)
Espérons que toutes les prochaines éditions nous apportent autant de satisfaction.

Martin

 

atelier du 23 août

À notre arrivée nous avons eu la surprise de constater que les barrières nouvellement installées sont enfin en service, nous bloquant l’accès à la majorité des places disponibles sur le parking. Celle-ci ne faciliteront nos prochains chargement et déchargement de matériel. Avec un ciel couvert et une actualité chargée, nous nous sommes rapidement dirigés en salle de réunion.
En fin d’après-midi, Frank, le dernier membre arrivé au sein de notre club a voulu jouer les héros et s’est légèrement blessé, l’empêchant d’assister physiquement à notre réunion. Celui-ci a donc demandé si l’on pouvait organiser une visioconférence, ce que Robert (retenu chez-lui) a fait en urgence. Malheureusement avec des problèmes, matériel du coté de Coulonges (webcam) et d’autre de connexion (faible débit) de notre coté, cette visioconférence ne s’est pas bien déroulée. Au final, nous avons essentiellement communiqué par téléphone.
Nous avons ainsi fait le point sur les préparatifs de la journée prévue le 7 septembre à l’Hôtel Tyndo et un débriefing de la Nuit des étoiles au Château de Oiron. Pour améliorer notre prochaine prestation (en août 2025), nous avons évoqué plusieurs pistes. Réaliser des panneaux explicatifs pour les maquettes du système solaire, tester le quiz avant de le soumettre au public, débuter la soirée un peu plus tôt, présenter le programme de la soirée sur notre site.
Pour notre animation conjointe à Tyndo, nous n’avons pas changé les activités que nous avions déjà évoquées, mais peut-être que nous n’en présenterons que deux à la place des trois prévues, en fonction du nombre d’animateurs disponibles et du nombres de personnes inscrites pour cet événement. Au moment de la tenue de cet atelier, seules cinq inscriptions étaient enregistrées. Pour faire augmenter ce chiffre, nous avons décidé d’appeler la presse locale pour qu’elle fasse la publicité de cet événement. Quelques personnes du club archéologie et l’ObservaThouars se retrouverons à l’Hôtel Tyndo pour rencontrer les journalistes, peut-être accompagnés d’un représentant du service patrimoine.
Par la force des choses (vacances, ennuis avec Zoom), nous n’étions plus que deux participants en fin de soirée pour regarder les actualités astronomiques en images. Nous avons admiré quelques photos de la conjonction entre Mars et Jupiter et d’autres de l’occultation de Saturne par la Lune. Des conditions exceptionnelles ont permis à ceux qui en avaient la chance de faire de superbes clichés d’aurores survenues au milieu de ce mois, au moment du pic des Perséides.

Martin.

atelier du 2 août

Une conjonction inhabituelle est venue perturber le bon déroulement de notre atelier. Elle n’était pas d’ordre astronomique mais événementielle ! On pouvait s’y attendre, les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont détourné l’attention de certains de nos membres. Mais ce jour-là fut aussi celui où la délégation française a décroché son record de médailles. Nous avons attendu les retardataires en parlant des exploits sportifs du jour jusqu’à 21h45 avant de nous rendre en salle de réunion. Une fois installés, les discussions sur nos athlètes ont continué pendant encore une bonne demi-heure, entamant largement sur notre ordre du jour. Nous n’avons pu débattre que de notre prochaine intervention au Château de Oiron pour la Nuit des étoiles. Nous en avons aussi profité pour fournir des affiches (et flyers) à ceux qui n’en avait pas encore reçu. Nous n’avons pas pu parler d’actualité, ni regarder de photos car une surprise nous attendait pour la fin de l’atelier. Ainsi nous n’avons pas évoqué le transit de Titan devant Saturne (très rare, une fois tous les quinze ans), ni des aurores martiennes du 20 juillet, ou bien de la perte d’un lot entier de satellites Starlink placés sur une orbite trop basse (suite à une défaillance du dernier étage d’une fusée Falcon 9), ni même la plus forte émission de rayonnements de ce cycle solaire (X14, le 23 juillet), heureusement (pour nos installations électriques) dirigé à l’opposé de la Terre, malheureusement pour les chasseurs d’aurores, et encore moins de l’éjection de masse coronale cannibale ayant touché notre planète le 30 juillet, provoquant une tempête géomagnétique de catégorie G3, légèrement visible en France. Même en écourtant notre séjour en salle, une moitié des participants n’a pu profiter de la surprise prévue, car le besoin de sommeil se faisait déjà sentir. Ce derniers n’ont donc pas eu le privilège de découvrir le télescope sur lequel nous avons réussi a mettre la main. Un télescope à assistance visuelle généreusement prêté jusqu’à la fin du mois d’août. Cet appareil se pilote avec un smartphone ou une tablette et y renvoie les images en direct (empilées ou brutes). On peut aussi s’y connecter à plusieurs simultanément, le premier ayant le contrôle. On parle d’assistance visuelle car l’oculaire est placé devant un écran LCD présentant la même image que celle reçue sur les smartphones, quoiqu’un peu plus contrastée. Quelques fois décevantes (cible inadaptées, mauvais ciel), les images sont la plupart du temps d’une qualité étonnante comparée au temps de pose relativement court pour les obtenir. Certains de nos membres seraient bien tentés par ce genre d’instrument.

Photos de Martin :

A01 : Découverte de l’eVscope2 avec un ami d’Eugène qui en possède un. Malgré le ciel nuageux, nous avons réussi à avoir de belles images. Le 23 juillet 2024 à Pompois, NEX-5T, 12mm, f/2, 400 ISO, 15s. A02 : Début de notre deuxième soirée d’initiation à l’eVscope2, dont on aperçoit le tube à l’arrière du dolmen de Puyravault. Le 29 juillet 2024, NEX-5T, 12mm, f/2, 200 ISO, 15s. Martin et Eugène s'exercent avec l'eVscope Unistellar voilà le résultat... ... pas mal, non ? A03 : Menthe en fleur sous un ciel éclairci par un quartier de Lune. Le 13 juillet 2024 à Maulais, NEX-5T, 12mm, f/2, 400 ISO, 15s. A04 : La Lune gibbeuse (85%) se lève derrière un tournesol (plus précoce que les autres) aux fleurs multiples. Le 24 juillet 2024 à Maulais, NEX-5T, 12mm, f/2, 400 ISO, 15s.

Photos du web :

C01 : La comète 13P Olbers (à 16 minutes lumière) derrière le château de Kunetice. Elle est passée au périhélie le 30 juin dernier et y repassera en 2094. Le 28 juillet 2024 en République Tchèque, Ra, 200mm, f/2.8, 1600 ISO, 43 x 30s pour le ciel, 21 x 30s pour le sol, filtre L-Pro. C02 : Le météore semble plus proche que la galaxie (M 33) en arrière-plan, mais de combien ? La galaxie du Triangle se situe à 3 millions d’années-lumière, alors que le météore ne se situe qu’à 3 dix millièmes de seconde-lumière (100 km). C’est bien la galaxie que visait le photographe, la chance a voulu qu’un météore passe dans le champ de la caméra, et le long temps de pose requis pour le ciel profond a aussi permis d’enregistrer la dispersion du plasma généré par le passage du fossile cosmique au travers des hautes couches de l’atmosphère. C03 : Souvent on peut voir soit les éclairs ou bien les sprites, mais rarement sur le même cliché. Ici aussi la prespective est trompeuse. Les éclairs sont assez proches (70 km), les sprites sont quatre fois plus éloignés (270 km) dont la couleurs rouge est due à l’excitation d’atomes d’azote. Les deux phénomènes se sont produits de part et d’autre de la frontière entre l’Ukraine et la Slovaquie. Le 15 juillet 2024 à Terňa, en Slovaquie, Ra, 50mm, f/1.8, 1600 ISO, 6s. C04 : Les mers lunaires portent bien leur nom. Évidemment elles ne sont pas aussi bleutées en réalité. La saturation de l’image a été fortement augmentée pour faire ressortir les différentes zones géologiques. Les zones bleues (ilmenite) sont riches en fer et titane alors que les zones orangées sont riches en aluminium. C05 : Le 24 juillet dernier, une occultation de Saturne par la Lune a eu lieu. Malheureusement elle n’était pas visible en France métropolitaine. C06 : Ce monolithe serait le plus haut à la surface de notre planète et vous l’aurez sûrement reconnu. Haut de 350 mètres et composé de grès, c'est un site aborigène sacré. Juillet 2024 en Australie, Ra, 50mm
Martin