activités de juillet 2024
La nébuleuse de l'Anneau. Voir explications en page précédente si vous êtes membres de l'ObservaThouars vous pourrez lire la suite <a href= '../membres/C&E-HS-47/
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atelier du 15 février

Les

Daniel.

atelier du 12 juillet

Lors de cet atelier nous avions beaucoup de documents a partager, nous sommes donc allés directement en salle. Coté actualités, nous avons eu la confirmation que l’équipe du Château de Oiron était d’accord pour nous accueillir pour la Nuit des étoiles 2024. Nous avons aussi reçu une réponse de la part de l’école de Luzay pour la soirée d’observations initialement prévue en 2023, mais maintes fois reportée à cause de la météo. Cette séance est maintenant prévue pour 4 octobre 2024, et nous avons aussi calé deux dates de secours au cas où, les 11 et 18 octobre. Cette dernière date est loin d’être idéale car la Lune sera alors presque pleine. Ensuite nous avons jeté un œil au compte-rendu de notre déplacement à Poitiers, à l’occasion des Rencontres Astronomie à l’Espace Mendès-France. Cela a permis aux personnes qui n’y ont pas assister de prendre connaissance du déroulement de la journée. Et pour les participants qui étaient rentré en fin d’après-midi de voir le contenu de la conférence nocturne : les horloges cosmiques. Rien à voir avec les horloges astronomiques, ici on y parlait des pulsars, qui battent un rythme étonnamment régulier. Suite à la demande de Robert, le conférencier Ismael Cognard, directeur de recherche au CNRS nous a aimablement transmit les documents présentés lors de son intervention. Nous avons dérivé sur une visite virtuelle du radiotélescope de Nancay, principal outil de travail pour ce chercheur. Pour terminer cette soirée, nous avons visionné quelques belles images. Le passage au périhélie de la comète 13P Olbers, la forte apparition de nombreux nuages noctiluques en contradiction avec les prévisions d’une saison défavorable à cause de la forte activité solaire, un bel arc-en-ciel nocturne au-dessus des chutes Victoria. Aussi une belle photo du cratère Copernic sur la Lune avec une résolution légèrement inférieure à 150 mètres par pixel et pour finir une étrange nébuleuse éphémère. Celle laissée par le second étage d’Ariane 6, premier tir réussi qui n’a été que faiblement évoqué dans les médias grand public. Ces derniers étaient alors obnubilés par les conséquences de l’annonce surprise faite un mois plu tôt par notre Président de la République : l’absence de majorité absolue à l’Assemblée Nationale suite à sa dissolution. La retrouvaille de notre accès à l’espace, élément important de notre indépendance dont nous avions été privé depuis plus d’un an, a ainsi presque été passée sous silence. La charge utile de cette nouvelle fusée dépasse celle des Falcon 9 de Space X (comparable pour l’orbite basse, mais 40 % supérieure pour l’orbite géostationnaire) mais ses coûts d’exploitations restent plus élevés car les éléments ne sont pas réutilisables.
Martin

A01 : La Voie Lactée dans les régions du Sagittaire et du Scorpion. Le 30 juin 2024 à Maulais, NEX-5T, 12mm, f/2, 400 ISO, 5 x 30s. A02 : La tête du Scorpion. L’Amas de l’Araignée (M 4), légèrement à droite d’Antarès (étoile rouge au centre de l’image) devient vraiment visible, ce qui n’était pas vraiment le cas sur l’image précédente à cause de la focale trop courte. Le 30 juin 2024, NEX-5T, 50mm, f/1.8, 400 ISO, 5 x 30s. A03 : L’image représente le champ perçu par le capteur avec une focale de 12 mm, au centre celui perçu avec des objectifs de 50 et 135 mm. Le champ des vignette du bas est centré sur l’Amas de l’Araignée (M 4). Plus la focale augmente, plus l’amas est détaillé, en accord avec l’échantillonnage. A04 : Les nébuleuses du Lagon (M 8) et Trifid (M 20) dans la constellation du Sagittaire. Le 30 juin 2024, NEX-5T, 135mm, f/2, 400 ISO, 15 x 30s.